Film de David Cronenberg, 2011.
Époque où les très fortunés étaient cultivés, polyglottes et névrosés. Et où l’on créait des théories par rationalisation de son cas particulier.
Introduction à l’œuvre de Jung, Freud et Gross.
Esprit de contradiction ? Je n’aimais pas les premiers films de Cronenberg, mais je trouve qu’ils avaient quelque chose d’original – une sorte d’étrangeté malsaine – qui a disparu. Ses dernières productions semblent avoir perdu le souffle initial. Elles ont peut-être gagné un grand public ?