Telle une rengaine des plus inaudibles et une dérive insurmontablement élucidée, par une entrave subséquente à des manoeuvres politiques, un désir d’hégémonie et une propension à ramener toute la classe politique au sein, d’une conclave qui ne prête plus son nom, qu’à des affabulations de toute nature, l’opposition et le pouvoir clouent le dialogue politique fraîchement entamé, sur fond d’espoirs et d’obédience à l’émergence d’un terrain de convergence politique, dans l’impasse et dans la spirale de la déconvenue, comme on pouvait bien en rêver, à l’occasion de la remise à flot de toutes les tentatives imaginables et possibles de résorption de l’imbroglio politique, ainsi que me remémorant du scripte, largement consacré à relever les probables failles, pouvant découler, d’un processus de transition, qui fut mal auguré, mal pourvue en tendance et mal jugulé en terme d’incohérence.
Ainsi, bien que la somme des exigences reflétant au paroxysme la volonté unanimement exprimée, de dépasser les clivages hétéroclites, construire un modèle de développement innovant et bâtir des institutions démocratiques qui en magnifient au mieux l’usage et les pratiques, nous avait astreint à nous assouplir aux normes didactiques observées et écarter les brèches de la discorde à des fins, d’une adjonction des relents, ardeurs et efforts, consacrés à redorer le blason de l’existence collective, il nous restera éternellement gravée à l’idée, l’expression inattendue et inavouée à travers le processus de transition en question, d’une adhésion consciente, si ce n’est inconsciente, de l’ensemble des formations politiques, alors en quête de représentativité certaine, à une plâteforme de résolution des conflits politiques internes, qui sapent les acquis démocratiques et annihilent la marge d’expansion de l’ensemble des forces politiques qui s’attèlent à désengorger le champ des investigations, en vue de l’arborer des principes qui s’incrustent dans le moule de la décision, et d’une approche des difficultés économiques, sociales et politiques des plus décentes, bien que paraissant crédules.
En cela, force d’abnégation et réalité d’esprit concoctées sur le fil du rasoir, nous auraient imposés à remonter le temps des conquêtes politiques de certaines formations politiques, jadis réputées au sommet de l’art, désarticulées de nos jours entre le déni et la résurgence des valeurs désuètes, afin de nous souvenir de l’oeuvre bâtie et l’attrait qu’elle a et qu’elle pourrait certainement avoir eu sur la combinaison des facteurs endogènes et exogènes, menant au paraphe scrutatif, de la finalisation de l’oeuvre entamée.
Pour ce faire, l’agrégation des principes et valeurs, ayant échappée à l’esquisse de l’entame d’une construction aussi gigantesque que celle endossant la responsabilité de la mise en place de l’armature structurelle et institutionnelle à vocation démocratique, on ne peut que scruter les dérives qui en émanent comme un réconfort d’esprit s’offrant à l’approche participative et analytique, de la plate forme de gestion commune des entraves et difficultés d’antan.
http://www.rfi.fr/afrique/20120103-guinee-conakry
http://www.guineeconakry.info/index.php?id=118&tx_ttnews%5Btt_news%5D=10798&cHash=8396d00aac5915364c737609e9938c42