La visite de la ville ne saurait être complète sans un petit tour dans le marché local
Et celui-ci méritait le détour.
A l’entrée, les mottes de beurre prennent le soleil, la poussière… parfois tombent avant d’être reconstituées sur la table
A l’intérieur, il ne faut pas se fier à ce premier stand spécialisé dans les objets de culte:
L’étalage voisin est tout de suite plus… sanguinolent:
Tous les morceaux y sont, on peut même récupérer une queue pour se fabriquer un pinceau
Ici, on s’occupe de l’épilation définitive
La cochonnaille est là aussi:
Le traditionnel canard laqué ne manque pas à l’appel, c’est encore ce qui me ferait le plus envie
Tous les volatiles n’ont pas eu la même chance que les canards… Tout avait bien commencé, une jolie cage et quelques copines… Mais très vite, c’est le carnage!
Le bouquet final, c’est la découpe à la hache: la bestiole est hachée menu du bec aux pattes, sans faire de détails… On comprend mieux pourquoi le poulet cuisiné dans les restaurants locaux est toujours immangeable!
Je crois que pour ce jour au moins, je serai végétarienne
Le marché n’est pas très grand mais on prend plaisir à s’y promener tant il est authentique…
Alexis ne semble pas du tout dérangé par ce qu’il voit autour de lui:
Si vous passez par Shangri-La, surtout ne manquez pas cette étape gastronomique (on peut y manger aussi)