Si une personne vous regarde avec cet air ci-contre, le demi-tour s'impose...
Nous n'allons pas développer une discussion autour des vampires-mêmes, mais plutôt sur les personnes baignant dans un pessimisme chronique, ayant le réflexe de la râle, de la critique non-constructive.
C'est en parcourant certains échanges hier sur Facebook, que cet état fut relaté, rappelé.
Pessimisme, inertie, râle, critique non-constructive, tout cela fait beaucoup. Ceci constitue un poids certain pour aller de l'avant, d'un point individuel et collectif. Dans le contexte économique actuel, laisser ce type de posture gagner du terrain est une manière de la jouer "défensive" et facilite une consommation d'énergie importante.
Or, ce qui est plutôt intéressant est de jouer la carte de l'ouverture au maximum, de tester de nouvelles choses, d'encourager les initiatives d'autrui et de penser "progrès".
Une idée ou une opinion semble être décalée, trop optimiste, hors-norme, excentrique... tout en allant dans le sens de l'amélioration et de l'éthique, répondons par "Pourquoi pas ?".
Le raisonnement "a posteriori" et les expérimentations sur de (très) petites échelles sont deux alternatives positives, largement préférables.
Est-il essentiel de s'éloigner des personnes les plus réfractaires au changement et spécialistes de la râle ? Non, bien au contraire. C'est un moyen d'en savoir plus sur leurs motivations et d'avoir des prises de vue ponctuelles sur la diversité des motivations, face à un objet de changement ou d'initiative spécifique.
La critique constructive est une double croche (une remise en question *et* une suggestion d'alternatives), et la mélodie collective en a besoin.
(crédit photo)