Jusqu’au 15 Février 2012, la scène du théâtre Romes de Barcelone sera témoin de tout type de perversions , et conflits amoureux.
“Qui té por de Virginia Woolf?”, traduit en français: “Qui a peur de Virginia Woolf?” est une fantastique est intéressante pièce dont nous ne personne ne désire perdre un détail.Mais pourquoi donc quelqu’un devrait avoir peur de Wirginia Woolf ?
Premièrement, il faut savoir, pour qui ne le saurait pas, que Virgina Woolf a été une des écrivains les plus importantes du 20ème siècle, et une figure qui a le plus contribué à la cause féministe. Une de ses phrases célèbres “Une femme dort avoir de ‘argent, et sa propre maison si elle désire écrire une nouvelle”. Son grand triomphe a été de se détacher comme femme écrivain dans un monde dominé par les hommes. Le titre de son oeuvre est un jeux de mots venant du célèbre comte de Walt Disney des “trois petits cochons”. “Qui a peur du grand méchant loup?”, chantait les trois. C’est qu’aurait pu crier les hommes de l’aristocratie londonienne face à la rebelle Virginia Woolf.L’oeuvre théâtrale est née en 1962, écrite par Edward Albee suivant son parcours au cinéma 4 ans après, et recevant 5 Oscars, et 8 nominations.
L’adaptation qu’il sera possible d’assister au théâtre Romes est dirigée par l’argentin Daniel Veronese, avec comme interprète Pere Arquillué, et Emma Vilarasau, capable de tout un samedi soir qui semble ne jamais se terminer. Les deux époux se maltraitent psychologiquement durant un diner aux chandelles utilisant leurs connaissances sur le linge sales, et les faiblesses de l’autre. Mais l’histoire résulte plus grotesque si nous savons que ceci se passe face au regard perplexe de ses hôtes, un professeur universitaire, et son épouse, qui ont un rôle important dans la discussion parce que au courant de vérités pas bonne à dire.
Les dialogues illustrent à la perfection les problèmes de couples de la société américaine. La trahison, la frustration, les tabous, et la perversion passent devant nos yeux, se convertissant en accueils immergés dans une nuit cauchemardesque.