Je me permets de renvoyer la lectrice ou le lecteur aux deux billets précédents. Je rappelle la première phrase de "La folie du jour" de Maurice Blanchot : "Je ne suis ni savant ni ignorant". Il est apparu clairement que n'être ni savant ni ignorant caractérisait Eros . Cela n'a certainement pas échappé à Maurice Blanchot. Lire, c'est aussi lire de tels "rapprochements". Un contexte n'étant jamais fermé, la tâche est immense. Interminable. Lorsqu'on lit, comment avoir jamais le pied assuré?
Soit. Mais celui qui dit "je" dans "La folie du jour" est-il Eros? D'entrée de jeu, il n'y a pas de réponse à une telle question. Il faudrait - ce que je n'entreprendrai pas ici (je n'en suis pas capable de but en blanc) - suivre cette "marque" à la trace dans le texte et voir ce qu'elle y devient. La littérature - une certaine littérature - est un travail. Un travail ardu, difficile, plein d'épreuves et de dangers.
Enfin, dans l'immédiat et pour terminer cette note en relançant le tout et élargissant considérablement le débat, je renvoie à:
- www.mauriceblanchot.net