Les deux livraisons vaudoises et genevoises sont désormais de véritables sœurs siamoises: presque plus un cil de différence.
En plus, avènement du fameux Newsnet oblige (?), les articles ne sont même plus signés.
Ou tout au plus comme de vulgaires dépêches d’agence non re-traitées.
Faut dire qu’on a fait passer à 60 % ou à moins nombre de « vieux » collaborateurs, sans doute moins adaptables au nouveau « traitement » de l’info.
Pas terrible comme première impression. Dommage.
Ça sent le teuton à plein nez. Et le fric aussi, faudra bien faire du fric avec des encarts publicitaires. A commander à Zurich, svp.