Pour ce dernier jour de l'an avant 2012, je trinque à la santé de mes gentils lecteurs zé lectrices, de mes 45 abonnés via newsletter à ce blog, des 18 055 pages vues en décembre, des 666 abonnés à mon fil Twitter et des 222 abonnés à Instagram qui ne cesse de m'émerveiller et dont je vous causerai bientôt. Et pour ne pas vous laisser sur des chiffres, je publie (parce que je suis une grosse feignasse) quelques gazouillis qui ont ricoché dans mon ciboulot. Bisous bisous.
* L'iPhone et son correcteur orthographique. Je te bise très fort devient je te vise très fort. Tout dépend de la cible bisée.
* Pourquoi FAUT-il que les journalistes les gens mentionnent les salaires indécents de nos footeux. Monde de merde. #àMortLeFoot
* Une pensée émue pour tous les canards toutes les oies maltraitées et couic pour nos voraces estomacs d'Occidentaux gâtés pourris.
* Bon bon bon. Au boulot j'ai dit éjaculer au lieu de éclabousser. Ça c'est fait.
* Le client qui me dit : "mais pourquoi vous êtes courbé comme ça ?" En moi-même je réponds : c'est à force de lécher le cul des clients.
* Les Champs-Elysées: le port du voile intégral y sera bientôt obligatoire.
* Arg arg arg (rire démoniaque).
* Les hasards ne cesseront de m'émerveiller. Un client potentiellement intéressé par l'hôtel oú je bosse. Je le reconnais. (1/2)
* (2/2) Vous ne seriez pas... ? C'est fou, je suis en train de lire votre roman, justement. Puis discussion à bâtons rompus sur son prochain.
* Je suis dans ma période "vous pouvez parler moins fort?" aux gens dans le train/métro/etc et les gens se taisent.
* Ou: auriez-vous la diligence de rester coi ? votre vie, on s'en bat les noix de cajou.
* C'est certain, j'allais pas très loin avec le manteau d'un autre sur le dos. Juste 500 mètres. Non mais quel couillon.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble