Sarko n'en finit pas de chuter dans les sondages.
Evidemment c'est son problčme, et ce n'est pas un petit problčme pour lui : il n'est que de voir sa tęte, "la tęte des mauvais jours" commentent les journalistes. C'est un peu l'histoire de l'arroseur arrosé qui lui arrive. Il la joue pipole et voilŕ que le people lui renvoie ces sondages dans la figure. Il en fera ce qu'il voudra, ou ce qu'il pourra.
Mais le vrai problčme il est pour nous, il est pour la démocratie, et cela s'appelle l'exemplarité. Etre président ce n'est pas une passade c'est un mandat. On ne confie pas le pouvoir ŕ quelqu'un pour qu'il en fasse n'importe quoi comme un gigolo ferait. Le pouvoir confié est légitimé ŕ son origine par l'élection, il est conforté dans son exercice par l'exemplarité. Exemplarité avez-vous dit ?
Nous allons nous trouver bien niquedouilles d'avoir failli. Que deviendra la fonction de président aprčs cette passade ? Et si Sarko racait ?