La sincérité devrait prévaloir au début de chaque relation humaine. Il sembla à Luc que l’absence de sous vêtement de son alter ego féminin en vis à vis adossée au frigo était un signe de reconnaissance des authentiques et c’est dans cette surenchère des justes que Luc Xur lui fit cette promesse dans la douceur de sa nuque: « Laisse moi te sucer et je te promets de ne pas te pénétrer ». Joignant le geste à la parole, il engageât sa truffe sous la jupe où sa langue remplaçât sa main. Dans le cœur de sa victime, où se délocalisait parfois la raison, la paronomase oh combien opportune « Sucer n’est pas tromper » se fit complice de sa pudeur. De toute façon, elle n’avait pas dit oui ! La rhétorique était la plus fidèle alliée de Luc et la plus sûre parente de sa queue prête à se faire discrète : Dans l'approbation tacite des gémissements concédés par la femme angéliqueà la féminité libertine et debout, la corolle de sa jupe le dissimulant à la vertu de ses yeux, le butineur était déjà à l’ouvrage. Luc, étourdit par l’exploration de sa nuque chaude d'adolescente androgyne, se ravissait de ce bouche à bouche impromptu. La langue, le langage et la suite du babillage lèvres sur lèvres, n’était que le passage de la prétentieuse théorie à l’exigence de la pratique. Le clitoris tapis dans une fine toison ne pouvait espérer nulle protection de cette armure bouclée. De l’intrus, la pointe de la langue sans aide digitale se fit prédatrice de ce petit animal sans défense. Elle l’enroba sur plusieurs tempos, virevoltant tant et tant puis l’aspira dans un va et vient calibré sur sa rigidité et sa longueur comme il se doi(g)t de traiter un micro pénis. Sous l’abat-jour de la jupe la pénombre devint odorante et humide. Les jambes de l'une debout et de l'autre à genoux battirent vers l’ile du canapé unis et titubants comme des naufragés de l'horizontalitédans le déferlement d'une vague. Luc, par timidité ou méconnaissance, ne se risqua pas à un doigt dans le Q et laissa sa partenaire jouer son "one main show" sur bouton doré avec l’assistance docile et sans orgueil de son organe de la parole réduite à son seul vocable latin connu : Cunnilingus. Après tout il serait vaniteux de prétendre savoir faire mieux qu’elle. Juste, pour aider, garder les mains à plat à l’intérieur de ses cuisse et dégager le sillon central pour son solo de mandoline et laisser son autre main autoritaire maintenir la pression et le rythme de cet homme objet abouté au cratère d’un volcan en éruption, les cervicales en compote.
(Changement de style: Aïe!)
La sincérité devrait prévaloir au début de chaque relation humaine. Il sembla à Luc que l’absence de sous vêtement de son alter ego féminin en vis à vis adossée au frigo était un signe de reconnaissance des authentiques et c’est dans cette surenchère des justes que Luc Xur lui fit cette promesse dans la douceur de sa nuque: « Laisse moi te sucer et je te promets de ne pas te pénétrer ». Joignant le geste à la parole, il engageât sa truffe sous la jupe où sa langue remplaçât sa main. Dans le cœur de sa victime, où se délocalisait parfois la raison, la paronomase oh combien opportune « Sucer n’est pas tromper » se fit complice de sa pudeur. De toute façon, elle n’avait pas dit oui ! La rhétorique était la plus fidèle alliée de Luc et la plus sûre parente de sa queue prête à se faire discrète : Dans l'approbation tacite des gémissements concédés par la femme angéliqueà la féminité libertine et debout, la corolle de sa jupe le dissimulant à la vertu de ses yeux, le butineur était déjà à l’ouvrage. Luc, étourdit par l’exploration de sa nuque chaude d'adolescente androgyne, se ravissait de ce bouche à bouche impromptu. La langue, le langage et la suite du babillage lèvres sur lèvres, n’était que le passage de la prétentieuse théorie à l’exigence de la pratique. Le clitoris tapis dans une fine toison ne pouvait espérer nulle protection de cette armure bouclée. De l’intrus, la pointe de la langue sans aide digitale se fit prédatrice de ce petit animal sans défense. Elle l’enroba sur plusieurs tempos, virevoltant tant et tant puis l’aspira dans un va et vient calibré sur sa rigidité et sa longueur comme il se doi(g)t de traiter un micro pénis. Sous l’abat-jour de la jupe la pénombre devint odorante et humide. Les jambes de l'une debout et de l'autre à genoux battirent vers l’ile du canapé unis et titubants comme des naufragés de l'horizontalitédans le déferlement d'une vague. Luc, par timidité ou méconnaissance, ne se risqua pas à un doigt dans le Q et laissa sa partenaire jouer son "one main show" sur bouton doré avec l’assistance docile et sans orgueil de son organe de la parole réduite à son seul vocable latin connu : Cunnilingus. Après tout il serait vaniteux de prétendre savoir faire mieux qu’elle. Juste, pour aider, garder les mains à plat à l’intérieur de ses cuisse et dégager le sillon central pour son solo de mandoline et laisser son autre main autoritaire maintenir la pression et le rythme de cet homme objet abouté au cratère d’un volcan en éruption, les cervicales en compote.
Puis Luc, un peu pour éviter l’étau qui
l’essorillait, se dégageât de
ce corps languissant, essuyât sa bouche discrètement et faisant fi de
sa promesse, glissât dans le puits offert de cet orifice en phase de recherche
d’oxygène, un membre timide et sans gloire.
« Et je jette mon seau et je remonte
mon seau. » Dans la position de la louve de Rome Luc Xur s’activa le temps
de quelques allers retour à la verticale dans ce fourreau de chair idéalement
tempéré et lubrifié afin que le seau en perce, enfin se déverse.
Poliment, elle avalât
« Sucer n’est pas
tromper ! » disent les sophistes !"
La sincérité devrait prévaloir au début de chaque relation humaine. Il sembla à Luc que l’absence de sous vêtement de son alter ego féminin en vis à vis adossée au frigo était un signe de reconnaissance des authentiques et c’est dans cette surenchère des justes que Luc Xur lui fit cette promesse dans la douceur de sa nuque: « Laisse moi te sucer et je te promets de ne pas te pénétrer ». Joignant le geste à la parole, il engageât sa truffe sous la jupe où sa langue remplaçât sa main. Dans le cœur de sa victime, où se délocalisait parfois la raison, la paronomase oh combien opportune « Sucer n’est pas tromper » se fit complice de sa pudeur. De toute façon, elle n’avait pas dit oui ! La rhétorique était la plus fidèle alliée de Luc et la plus sûre parente de sa queue prête à se faire discrète : Dans l'approbation tacite des gémissements concédés par la femme angéliqueà la féminité libertine et debout, la corolle de sa jupe le dissimulant à la vertu de ses yeux, le butineur était déjà à l’ouvrage. Luc, étourdit par l’exploration de sa nuque chaude d'adolescente androgyne, se ravissait de ce bouche à bouche impromptu. La langue, le langage et la suite du babillage lèvres sur lèvres, n’était que le passage de la prétentieuse théorie à l’exigence de la pratique. Le clitoris tapis dans une fine toison ne pouvait espérer nulle protection de cette armure bouclée. De l’intrus, la pointe de la langue sans aide digitale se fit prédatrice de ce petit animal sans défense. Elle l’enroba sur plusieurs tempos, virevoltant tant et tant puis l’aspira dans un va et vient calibré sur sa rigidité et sa longueur comme il se doi(g)t de traiter un micro pénis. Sous l’abat-jour de la jupe la pénombre devint odorante et humide. Les jambes de l'une debout et de l'autre à genoux battirent vers l’ile du canapé unis et titubants comme des naufragés de l'horizontalitédans le déferlement d'une vague. Luc, par timidité ou méconnaissance, ne se risqua pas à un doigt dans le Q et laissa sa partenaire jouer son "one main show" sur bouton doré avec l’assistance docile et sans orgueil de son organe de la parole réduite à son seul vocable latin connu : Cunnilingus. Après tout il serait vaniteux de prétendre savoir faire mieux qu’elle. Juste, pour aider, garder les mains à plat à l’intérieur de ses cuisse et dégager le sillon central pour son solo de mandoline et laisser son autre main autoritaire maintenir la pression et le rythme de cet homme objet abouté au cratère d’un volcan en éruption, les cervicales en compote.