Le Musée de Brooklyn est un des plus grand aux Etats-Unis, et le deuxième au niveau de sa superficie de la ville de New-York. Sans aucun doute, il aurait pu être quatre fois plus grand si une norme urbanistique de 1895 ne l’oblige à un changement des plans prévus à une réduction des dimensions démesurées prévues. L’edifice actuel fut inauguré en 1897, mais avant 1970, le musée n’était pas indépendant, étant une sous-division de l’Institut de Brooklyn des Arts, Lettres, et Science qui inclut aussi l’Académie de la musique. Les Jardins Botaniques, et le Musée de l’Enfance du populaire quartier new-yorkais.
La dimension, et la variété de ses collections est à la hauteur de son innombrables numéro de mètres carrés, et son stupéfiant spectre incluant des oeuvres de l’antique Egypte, jusqu’au Centre d’Art féministe Elizabeth. Sackler ou s’exhibe la séminale installation de Judy Chicago, le souper.
Dans cette impressionnante gammes d’oeuvres exposées se détache spécialement la collection d’art africain, comprenant plus de 5000 pièces qui parcourt plus de 2500 d’histoire, la convertissant comme la plus étendue de tout les états-unis.
Durant la dernière année, cette extraordinaire collection a été soumise à un méticuleux processus de réorganisation qui a finalement culminé avec une nouvelle manière de présenter les pièces baséEs sur des critères chronologiques, et contextuelles, qui déplacent l’antérieur approche éminemment géographique.
Ce nouveau mode de présenter les pièces, du à l’effort entre le commissaire Kevin Duomochele, et le dessinateur Matthew Yokobodìsky ( qui durant un voyage au Cameroun resta fasciné par la beauté de la couleur jaune, et décida de l’utiliser comme couleur dominante de l’exposition afin de transmettre une sensation de chaleur) constitue l’exposition permanente African Innovations pouvant être visitée au premier étage de la Galerie Sud du musée (http://www.brooklynmuseum.org/exhibitions/african_innovations/)
Dans cette approche conceptuelle, l’attention est mise sur les problèmes d’ordre social, politique, cosmique, et esthétique des pièces exposées prétendant donner une réponse. Dans ce sens, il semblerait que la tentative d’accorder à l’art africain un contenu intellectuel à partir d’une perspective locale, et pas celle occidental que certaines personnes définissent paternaliste.