Considéré plus comme un styliste du septième art avec ses techniques pour raffiner, et amplifier les méthodes cinématographiques existantes en les combinant avec les conventions de l’art, la littérature, et le théâtre victorien qu’un véritable innovateur, comment discuter le titre honorifique de père du cinéma à David W.Griffith, si nous observons la manière dont laquelle ses oeuvres se fondent dans un langage, et uns syntaxe dominant dans la réalisation de film durant plus de cinquante ans en partant des éléments plus basiques.
Le réalisateur autrichien Eric Von Stroheim, responsable de certains des films les plus mémorables de tous les temps, après avoir commencé à travailler comme assistant de direction de Griffith, déclara qu’il s’était charger d’insérer de la poésie, et de la dans une forme de divertissement modeste.
Ce qui est certain est que durant les premières années du siècle en Amériques, les films étaient des produits de consommations rapides s’achetant au mètres de pellicule, et s’exhibait comme partie de spectacle de Vodevil, et de variétés dans des fêtes rurales. Certaines de ces premiers acteurs doté de peu de caché espérant gagner un peu d’argent avec ce qui était encore considéré comme une nouveauté à mauvaise réputation, et de peu de prestige complètement éloigné de toute prétention artistique se convertirent dans un laps de temps par excessivement long pour les influents magnats, et dominateurs de l’imposant empire de Hollywood avec son tout puissant ascendant prenait pouvoir en très peu de temps des rêves, et de l’inconscient tout entier de la majeure partie des habitants de la terre. Le contrôle rigide qui fini par s’exercer sur eux, et chaque aspect du cinéma américain fut paradoxalement responsable de l’ostracisme de Griffith. Son oeuvre, après l’insuccès commercial de Intolerancia de 1916, si colossal et démesurée comme les propres décors, et les ambitions du films, se sont suffoqué par les restrictions imposées par le système d’études.
Ces hommes, plus que d’un authentique respect des créateurs de Hollywood, grâce à son être téméraire, et perspicace pour les affaires lui permis de triompher dans les guerres commerciales pour le contrôle des patentes de la première décennie du siècle. Ces personnages qui ont marqué l’histoire du cinéma étaient des fils d’immigrés européens de première génération d’origine juive.
A eux comme à l’évolution de la présence juive à Hollywood, est dédié le Musée juif de Vienne dans une intéressante exposition ouverte jusqu’au 15 Avril prochain. http://www.jmw.at/en
Paul Oilzum