Etats des lieux des endroits de solidarité locale...(2ème partie).

suite de mon article sur le fait des aides sociales et autres qui sont une sorte de solidarité.

...//...Mais bon, toujours est-il qu'ils sont ainsi pourvus, ces locaux, de personne qui œuvre gratuitement et s'entendent, pour servir les autres (sorte de dons de soi).
Alors après, que leurs convictions soit pur ("Illuminé", "Bonté d'âmes", rire) pour certains de leurs membres que je côtoie ou et côtoyés (pour mon métier de journaliste d'alors) je trouve que la solidarité a bon dos parfois.
En effet, il n'est pas tout rose "Le monde de la solidarité", hélas.
Alors, démarrons si vous le voulez bien notre tour du propriétaire part :
"Les restaurants du cœur" section de Bernayen par exemple.
"Ont vu", m’a dit son président, "Une hausse de 30 nouvelles personnes pour l'année 2010", s'en doute 10 de plus pour 2011.
Ce qui monte les demandeurs à 380 - 400, ne trouvez-vous pas ce chiffre effrayant vous ?
Je n'ai pas pu avoir d'autres chiffres, car les autres lieux que j'ai visités étaient fermés le jour de ma visite (mais j'apporterais un complément d'information dès que j'aurais plus de données) cela a de quoi nous laisser dans la réflexion et l'inquiétude montante non ?
Oui, alors maintenant, si nous grattions un peux sous les plâtres et vernies pour y voir ce qui ne va pas (rire).
Oui, cet article n'est pas fait pour béatifiais tout ce petit monde.
Je crois qu'il faut dire ce qui va, mais aussi ce qui ne va pas vous ne croyiez pas?
Et ce, sans méchanceté de ma part évidemment.
Mais hélas, là encore, ces défauts vus et vécus sont communs à tous les organismes qui ont pour fonds de commerce la "SOLIDARITÉ" oui, ils y en auraient à redire, c'est sûr.
Alors, parfois, si l'on vous reçoit avec respect, ils ais d'autre fois ou on vous sert soit de la nourriture, soit des vêtements dans une ambiance limite agressivement en vous fessant bien comprendre que c'est vous le "Pauvre du coin qui êtes demandeur" et que ceux qui vous servent et sont en face de vous eux, sont les gentilles personnes grâce à qui vous exister et survivez.
Mais je vous rassure tout de même, toutes les personnes que j'ai rencontrées (lors de mes photos ne sont pas comme cela heureusement).
Je veux bien croire que ce don de soi n'est pas une joie tous les jours aux vues des gens qui viennent dans s'est lieux là, mais bon.
J'ai entendu (lors de ma balade pour faire quelques photos pour cet article) par exemple une dame cigarette à la main (paquet neuf) venir trouver le président des restos du cœur et lui dire (de mémoire) "Ma fille a eus 4 saucisses et 3 biftecks alors que, moi, je n'ai eu que deux saucisses, et un steak, cela veut dire quoi" et blablabla.
Je me suis dit "Mais elle se croit ou cette brave dame, au service après-vente ou quoi".
Je lui aurais dit plaignez-vous que l'on vous remplisse votre panier gratuitement.
Alors, qu'ils soient gens du voyage, de passages, ou habitants domiciliés à Bernay, il y a une règle d'or et une base minimum qui doit être leurs maîtres mots à tous.
La phrase et la suivante "Respect de la personne" est cela vaut dans les deux sens du comptoir évidement.
J'ai vu aussi comment certains servaient la nourriture (dans les années 2000) aux "Restos du cœur".
Par exemple on vous mettez un poisson pané sous cellophane posé à plat à même un steak haché lui-même sous cellophane puis on vous donne une boite de haricots verts, deux œufs s'en un sourire, s'en un mot, ils tendent juste là main pour prendre votre bon, et ils passent alors de main en main jusqu'à la chaîne de sortie ou l'ont vous dis "Au mois prochain" (en gros).
J'ai vu aussi lors de certaines après-midis de collecte de denrées non périssables (riz - pâtes - chocolat - purée, etc.) dans les halls d'accueils des centres commerciaux de notre ville, les mêmes personnes aux culs de leurs voitures vidées les fameux caddies (pas mal pleins) en deux cageots, genre "Un pour moi un pour l'association - un pour moi un pour l'association", etc. (rire).
On va me crier dessus en me disent "Mr vous diffamée nos œuvres et actions caritatives et solidaires" s'en doute, mais n'est-ce pas là vérité (même si cela a vraiment évolué dans le bon sens en 2011). Mais, que cela me jette alors la première pierre si je mens, non.
Alors, je me dis que voulez-vous, ils y à des déviances partout il n'y a pas comme l'ont dit de "Petits profits" c'est comme ça (et peu importe l'endroit dans notre hexagone).
J'ai vu aussi au vestiaire d'entraide du secours catholique (dans les années 1990 - 2000) des gens vous faire des réflexions lorsque certaines de s'est vieilles dames (bigotes du premier rang à l'époque) vous tendez un pantalon trop grand ou trop petit et/ou une paire de chaussures qui ne vous plaît pas et/ou ne vous aller pas de vous lâcher béatement un "Vous vous permettez de jouer les délicats, mais vous n'êtes pas aux "Printemps" ici Mr" (grand magasin chic de Paris, rire).
Pour la nourriture même cirque, selon qui vous êtes la dignité et remisé aux placards.
Oui, on vous dépose dans votre panier - besace quelque conserves, etc., et "Hop !", comme le chanter le grand Jacques Brel "Au suivant !"…
Ensuite, il y a les bons de nourriture donnés par la ville.
Oui, c’est un concept qui fonctionne bien ici, bons d'une valeur qui oscille entre 10 et 20 euros donner par la section solidarité et action sociale de la ville.
C'est bons vous permette d'aller (celons le contras signée entre tels et tels supermarchés de la ville) remplir donc de nourriture, etc., pour votre petite semaine et avec surtout comme mot d'ordre "Pas de dépassement" en interdisant tout achat de vin et autre alcool cela va de soi.

Suite et fin de cet article demain...
(les crédits photographiques seront citer demain en pied d'article).