A son départ de la société (17 000 followers), il garda le compte twitter, changea le pseudo (@noahkravitz) et aujourd'hui le compte a dépassé les 22 000 followers.
Quelques mois plus tard, Phonedog réclame $370,000, soit $2.50/follower.
Derrière cette affaire, se pose les questions de la propriété d'une présence web et de sa valeur financière. Il est très vrai que Noah utilisait les moyens (de production) de la société PhoneDog.
D'un autre côté, son rayonnement personnel au service de l'entreprise est un autre élément à prendre en compte. Et si son départ et la création d'un nouveau compte twitter aurait occasionné une relative fuite de followers ?
Cela marque-t-il une limite dans la mise en avant de la personnalité des salariés sur les médias sociaux ?
Dans un environnement juridique en cours de formation, l'idée serait sans doute de préciser (en amont) les conditions pour les présences web (restitution des moyens) en cas de rupture de contrat, pour que les candidats savent à quoi s'attendre en cas de départ.
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