De ce qui est fait ou pas pour aider les plus humbles d’entre nous à accéder aux droits basics et fondamentaux de la dignité.
Pour faire écho au récent concert donner le 16 décembre 2011 nommé "Les rockeurs ont du cœur" qui est une initiative reprise par la "MJC" depuis quelques années sachez tous de même que sur Bernay se sont "LES ONDES FMR" (la première vraie radio locale Bernayenne) qui en furent les initiatrices.
Puis quelques jours plus tard sur ce même sujet on me signaler par discussion privé sur ma page "Face book" (page "Face Book" qui est, je le répète, le complément de ce blog) que les services de la "MJC" puis les services associés à la paroisse chrétienne de Bernay eux aussi œuvrer pour que chaque enfant de familles défavorisé puisse avoir des jouets et autres comme tout un chacun.
On mit parler alors de "Solidarité".
Le mot fut lâché alors.
Et j'ai eu envie de parler de ce sujet en pointent du doigt là où le bât blesse vue de ma lorgnette évidemment.
Car tout n'est pas rose au "Doux pays de la solidarité" (rire).
Donc, ce dialogue entre autres et née après une phrase écrite dans mon article sur le "Dimanche de jeux en famille" (2010) ou je signaler l'opération "Don de jeux/jouets" que les organisateurs (les services à la jeunesse et petites enfance de Bernay) avaient cautionnée.
Cet article répondre je l'espère à cette personne et aux autres par la même occasion (rire) qui se pose des questions sur "Que vaux l'esprit de solidarité à Bernay".
Ainsi, je vous propose ci-dessous mes visions d'esprit sur l'idée de "Solidarité ou pseudo solidarité" qui enveloppe notre ville.
Oui, ses actes de solidarité, dois-je le signaler (rire), bien évidement ne s’adresse cela va de soi qu'aux habitants de Bernay qui vivent dans une précarité (moins de 500 euros par mois pour un homme ou femme seule et entre 6 à 700 euros pour un couple avec enfants).
Donc, ceux-là ont alors cinq solutions de secours, si je puis dire, et sans mauvais jeu de mots.
Car cette autre tranche de la population qui vie (avec entre 2 ou 3 000 euros nets par mois) en maison privée (hors parcs locatifs) qui ont deux voitures, qui parte en vacance deux fois l'an, qui font près de 2 voire 300 euros de pleins de courses dans l'hypermarché du coin tous les 15 jours, qui habillent leurs enfants et eux même qu'avec des marques haut de gamme ne sont évidemment pas concernées (rire).
Alors, nous ici à Bernay nous sommes le moins mal lotis niveaux solidarité et services sociaux.
Quoique plus le monde avance plus, les organismes de solidarité sont sollicités pour autre chose que des vêtements, de la nourriture et/ou des meubles.
Oui, on vient vers eux aussi pour des aides financières pour des factures de gaz, d'EDF, d'eau ou des loyers impayés, etc.
Eh oui.
Alors, je ne dénombre pas moins de 5 services actifs est gratuits d'aides aux personnes.
S'est servies sont :
1 - "Le secours populaire" (branche solidarité de feu le parti communiste français).
2 - "Le secours catholique" (branche solidarité de l'église catholique de France).
3 - "Les restaurants du cœur" (branche de solidarité fondée par feus Coluche).
4 - "Les services sociaux de la mairie" (branche solidarité de la mairie).
Le cinquième étant un organisme d'état.
5 - "La CAF" et les services sociaux du "Conseil Générale de l'Eure".
Branche d'aides aux logements, aides financières diverses, aides pour entre autres :
Trouver un logement / pour les aides aux déménagements - aides pour acheter le minimum vital d'un jeune couple (frigidaire / gazinière) - assistance à la petite enfance par de la nourriture, des couches / apprendre aux jeunes mamans à s'occuper de leurs bébés, etc., etc.).
Après, viennent se greffer à tout cela des actions ponctuelles organisées par la croix rouge, Le "CCFD".
Les actions national tels les "Pièces jaunes" (de Madame Chirac), le "Téléthon" dont Bernay en 2011 à récolter près de 4 000 euros sur un week-end), etc., etc.
Alors, après l'énoncé développez dans la première partie de mon article de tout ce qui existent cela devrait calmer les ardeurs de celles ou celui qui accuserais notre ville de tourner le dos à l'esprit de "Solidarité générale" je trouve donc que cela est déjà pas mal non ?
Alors, si nous savons écouter les bruits de la ville un bruit sourdre monte de la ville soit, mais aussi du pays qui pose les questions suivantes :
· "Devenons-nous un pays d'assistées sociales ?"
· "Est-ce une solution que de faire de l'assistanat social et solidaire ?"
Et enfin, "LA" question essentielle et fondamentale :
. "Comment se sortir de ce tout solidaire ambiant qui se développe à vitesses grandes V ?"
Les questions sont donc ouvertes.
Et il et bien entendus que si vous aviez des éléments de réponses et/ou de solutions n'hésiter pas (rire).
Et pour ce que j'en vois ici ou là, je peux vous dire que, hélas, tous ces services-là ne désemplissent pas lors des jours d'ouverture de leurs diverses permanences (ouverture début octobre / fermeture mars).
Alors oui, les uns les autres ont était obligée, vu l'évolution de leurs "Clients" si je puis dire, d'avoir rapidement des locaux appropriés (plus grands et/ou plus moins dignes) qu'ils ont aménagés et/ou faits aménagés (par leurs soins ou par les services techniques de la ville) comme ils le peuvent, parfois, dans l'étroitesse et la limite vétusté.
Mais bon, le but et qu'ils soient là et réponde présent chaque année.
On voit, on ressent parfois un contraste quand parfois certains autres organismes d'état et de solidarité, eux, ont de beaux locaux, bref.
Même sur le fond, l'injustice règne....//...