. Tibéri junior renvoyé à ses chères études
Il est des moments exquis où l’annonce d’un entrefilet, coincé entre les savantes bafouilles sur les funérailles d’un dictateur sanguinaire, les chroniques de la mort annoncée de notre sacro-saint triple A et les conseils culinaires pour les fêtes de la « Natalité » chères à l’érudite Morano, donne le sourire aux lèvres. Or donc, le 23 décembre, l’AFP titrait ainsi une dépêche laconique : Le Conseil d’Etat annule la nomination à Bercy de Dominique Tiberi. A priori pas de quoi en faire un pataquès ni grimper au rideau, mais en farfouillant dans les coins, on se rend compte que la nouvelle n’est pas si anodine que cela… (lire la suite sur ruminances)