S‘inquiéter pour ses enfants partis en colonie de vacances ou être exaspéré parce que le propriétaire ne rappelle pas pour s’occuper des problèmes de plomberie ?
Ce sont des comportements bien naturels et personne ne pourrait en blâmer qui que ce soit, bien au contraire.
Par contre, se faire du mouron parce que le petit dernier est à la piscine et que l’on pense très sérieusement qu’il va se noyer et que personne ne va le remarquer ou alors qu’il va courir sur le bord du bassin et tomber la tête la première sur le carrelage glissant : ça, c’est beaucoup plus excessif.
Loin d’être floue, la frontière entre inquiétude et anxiété est bien délimitée : l’anxiété devient pathologique lorsqu’elle
- continue malgré la disparition de la cause
- ou lorsque le système d’alerte démarre sans aucune justification.
Lorsqu’ils s’immiscent dans la vie courante, les troubles anxieux peuvent fortement perturber le quotidien jusqu’à en devenir vraiment handicapants.
Les personnes souffrant de troubles anxieux adoptent des raisonnements torturés et tortueux qui les amènent à penser que tout va ou va aller de travers.
En France, l’anxiété généralisée touche entre 3% et 5% de la population.
Les femmes sont deux fois plus nombreuses à en souffrir que les hommes,
surtout après 40 ans où le ratio atteint une femme anxieuse pour 10…
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