J'avais envie ici de vous parler du personnel municipal qui œuvre pour la beauté de nos parcs et jardins, mais pas seulement.
Hiver comme été chaque saison il s'affaire à redonner vie à nos espaces verts.
Pour nous ont fait qu'en profiter, mais, eux, ils s'affairent dans les serres municipales à planter, etc.
Certains utiles, d'autres moins, du moins l'estiment-Ont.
Je parle des bacs à fleurs qui parsème le centre-ville s'est quartiers et/ou les contours de la ville.
Et quelques fois aussi les abords de la ville (genre les ronds-points).
J'ai compris il y a peu que s’ils attachent autant d'importance au fleurissement des ronds-points c’est que cela sont en quelque sorte les vitrines de la ville qu'ils entourent.
Nos élues peuvent alors briller en société et se vanter d'être à la tête de la troisième ville fleurie de France (rire).
Mais, sans le travail de toutes s'est, si je puis dire, petites mains, de s'est personnes (comme partout je le sais) et bien adieux les jolies trois fleurs.
Alors, pour parler avec certains d'entre eux régulièrement, je peux dire qu'ils sont quelques peu fières de ce qu'ils sont et surtout de ce qu'ils font.
Et ils ont raison d'être fière du travail qu'ils fournissent, même si les conditions salariales syndicales, etc. étaient à revoir (ceci les regarde) eh bien oui bravo mesdames, messieurs.
Car oui, quelques femmes travaillent aux services des espaces verts et jardins municipaux. Elles prouvent s'il le faillait quelles ne font pas que jardiner sur leurs balcons en tablier vert.
Elles bêchent, arrose, ratisse, plante comme les hommes.
Ses un sacré métier quand même, savoir arranger des bulbes de fleurs entre elles, savoir doser la taille d'un résineux, trouver le juste équilibre entre tout cela.
Tenter de garder un peu de verdure au cœur de la ville est un beau pari qu'aucun maire ne peut désormais annuler.
Alors, moi, pour ma part, j'aime à aller régulièrement m'assoir sur l'un des bancs qui sont la mise à disposition selon les allées et/ou chemins.
S'est fous quelque part de savoir la cité vivante vrombissante, la rue Thiers si proche et à la fois sentir et n'entendre quelque part que le bruissement des feuilles et le doux gazouillis des oiseaux (jardin reconnu et classé "L.P.O"), et les yeux alors s'apaise, est alors l'esprit se vide.
Il et bon aussi de voir le rôle de, si je puis dire "Médiateur", de tampon que ces parcs et jardins donnent à l'esprit de la ville en elle-même.
Oui, quand il ne s'agit pas de jeunes qui squatte les bancs entiers les culs posés sur l'adossoir et les pieds sur l'assise elle-même, qu'ils, à coups de cutter grave je ne sais quels mots sur les bois neufs des bancs, bref que dires que faire faut bien que jeunesses se passe comme ont dit (rire).
Et je peux vous assurer qu'ils s'y trouvent parfois des situations marrantes à voir, surprendre, mais là chut….
Aller, je vous cite cet exemple personnel, car trop sympathique est fessent montre d'un des rôles principaux des parcs et jardins de la ville.
Oui, alors je suis là assis, je feuillète le "Libération" du jour et une dame de quoi, allé, 80ans passée me demande la permission de s'assoir, je la regarde souriant et lui dis "Mais bien sûr madame il y a de la place" (en me poussent un peu).
Et sur ceux s'en suit quelques instants de silence et la voilà qui enchaine sur je ne sais plus quoi et du coup elle me raconte sa vie avec s'est sœurs, s'est cousines durant la guerre de 1940, j'ai trouvé ça quelque part émouvant quand même.
Quand je dis que s'est parcs et jardins sont des "Médiateurs" s'est dans le sens ou si quelqu'un sort du tribunal pas très loin de là ou qu'il lui et arrivé quelques choses de stressent et bien il vient ici et trouve toujours celons le temps, quelqu'un à qui parler, et là s'est bien, enfin un endroit sein qui rapproche les gens.
Et je peux vous dire qu'il en voit et en entendent plus ou moins de sacré nos jardiniers comme on les appels.
Alors, oui, combien de Bernayens ont usé leurs fonds de culotte sur les pelouses l'été ?
Oui, et aux printemps, comme l'arrivé des hirondelles, combien d'amourettes sérieuses ou non sont-elles nées sur s'est bancs de bois.
Oui, combien de mariées sont venue fleurir l'espace d'une séance de photographie, les pelouses et autres statues qu'il n'y a plus, ce que je regrette fortement, mais bon.
Oui, combien de gamins ont joué dans le bac à sable, glisser sur ce toboggan (même si ceux-ci actuellement orienter plein soleil peuvent brûler leurs petites fesses, rire) ?
Oui, combien d'adolescents de 13 à 16ans se sont balancé sur s'est véhicules à ressorts (rire) ?
Alors oui, les parcs et jardins de la ville ont bercé, berce et bercerons encore nos vies.
Et là, comme immuable, sont personnel parait ne pas vieillir non plus tant le temps semble si être arrêter…
Alors merci mesdames messieurs d'œuvrer ainsi pour parfaire ces petits coins de paradis terrestre…
Photographie : "Le jardin de l'abbatiale de Bernay par le citadin, année 2010©®.
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