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[Il était une fois...] Pokémon Version Rouge : Le commencement.

Par Snoufle @SnoufleBox

[Il était une fois...] Pokémon Version Rouge : Le commencement.

Poursuivons avec cette nouvelle rubrique, j’espère d’ailleurs que celle si vous plait, n’hésitez pas à donner votre avis (bon comme mauvais) dans les commentaires. Cette fois je vais me remémorer les souvenirs qu’il me reste de Pokémon version Rouge sur Game Boy (et oui j’ai pas pris la version bleu ! ). Une sacrée épreuve qui m’attend, tant il y aurait à dire sur le jeu, tellement il est riche.

C’est d’abord ma sœur qui m’a initié à la saga, elle avait acheté la version bleu, forcément je l’avais essayé, et j’avais adoré. Mais au bout d’un moment refaire 4 fois le même avancement jusqu’au Mont Sélénite, car il ne fallait pas effacer la sauvegarde de la grande sœur (save unique à l’époque), sa devenais vite chiant, du coup j’ai gratté à mes parents, et j’ai obtenu Pokémon Version Rouge.

[Il était une fois...] Pokémon Version Rouge : Le commencement.

Mon starter, ou Pokémon de départ était Salamèche, pourquoi ce choix ? Tout simplement car à terme je voulais le Dracofeu qui était sur la jaquette, et oui c’est ça être gosse. Bref, n’empêche il me semble bien que cette version des Pokémons était mon premier RPG. Car oui Pokémon quoiqu’on on dise est un véritable RPG, et d’ailleurs capturer et faire évoluer ses monstres, et sans doute l’élément qui m’a le plus plu. Mais Pokémon ce n’ai pas que des combats de monstres, c’est aussi de l’exploration, et à ce niveau la région de Kanto m’a vraiment comblé. Alors certes les niveaux ne sont pas franchement original pour aujourd’hui, mais à l’époque c’était l’éclate, on se torturé la tête à essayer de parcourir les grottes sans la CS Flash, on prenait un malin plaisir à défoncer en duel chaque membre de la Team Roquet, ou encore à fuir les Coconforts, et autre Crysacier de la forêt de Jade. J’avais un défi stupide avec un pote, qui consister à  finir le jeu sans fuir aucun combat, car il me semble que le nombre de fuite était indiqué ; les prémices des trophées et autres succès était déjà là. Mon pote ne servais pas qu’a sa, car il fallait bien s’échangé les Pokémons via le bon vieux câble link (pas de wifi ici), pour que mon Kadabra, évolue en Alakazan, d’ailleurs quand j’y repense certain nom de Pokémon sont vraiment spécial… : Kadabra…

A l’époque il n’y avait que 150 Pokémons, et même si je ne les avais pas tous capturer (seulement 120 sur 150), et bien j’avais quand même pris pas mal de plaisir à les traquer dans les hautes herbes. Mais Pokémon ce n’ai pas que de la chasse au monstre, c’est aussi plein de mini jeu, comme le plus célèbre : Le casino. En effet dans le premier opus de la saga pour y accéder, il fallait se rendre à Céladopole, on pouvait seulement (y me semble) jouer au machine à sous, dans le but de gagner des CT plutôt rare. Petite anecdote, les machines à sous furent supprimées dans les versions or et argent, pour être remis dans les versions Rubis et Saphir, à la demande des fans, en proposant en plus le jeu de la roulette. C’est ce genre de à coté qui ma fait prendre mon pied sur Pokémon.

[Il était une fois...] Pokémon Version Rouge : Le commencement.
[Il était une fois...] Pokémon Version Rouge : Le commencement.

Bien sûr, l’histoire ma fait voyager dans les terres sauvages des Pokémons, surtout qu’en parallèle je suivais la série diffusé à la TV, du coup mon ressenti était décuplé. C’était pour moi mon premier jeu qui m’invitait à l’aventure avec un grand « A ». Parcourir de nouvelle route, en se demandant qu’elle type de Pokémon on allait rencontrer, et quel Pokémon nous réserver les  dresseurs, ça n’a pas de prix. D’ailleurs je me rappelle avoir souvent était impressionné face à la taille, et au style des Pokémons des maitres d’arène, ils imposaient le respect.

Je me rappelle aussi de certain bug comme celui du parc Safari, ou de Cramoisil, de mémoire pour le second, c’était pour péché des Pokémons niveau 100, pour ce la raconter devant ses potes, mines de rien ce genre de bug donne un certain cachet au jeu, en donnant envie de continuer à y jouer.

Pour clôturer, ce récit de mémoire de joueur, un autre aspect du jeu, était la possibilité de combattre avec ses Pokémons sur Pokémon Stadium en 3D sur N64, et sa c’est la classe ! Car il faut avouer que les sprite 2D aussi beaux soit -il (quand on les voit en tant qu’ennemi, car les sprites dos au joueur sont moches), ça va un moment, mais on aimerait voir mieux. Bref j’ai rejoué aux dernières versions blanches et noir, et j’avoue que la magie opère toujours.


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