Les chercheurs démontrent que la récupération de la majeure partie du méthane (CH4) dégagé par la décomposition des décharges d'ordures ménagères aurait plus d'impact que la construction de trois réacteurs nucléaires de type EPR ou qu'elle aurait le même effet que l'isolation thermique de 400 000 logements anciens par an pendant 25 ans. Le tout à moindres frais, en valorisant une ressource énergétique pouvant servir aussi bien à produire de l'électricité qu'à chauffer des immeubles ou à faire rouler des bus ou des voitures…