En ces périodes où la pression de la nécessité et l’exigence de résultat liée à l’action politique, nous font remonter le temps et revoir le parcourt effectué, depuis l’entame du processus de démocratisation, il m’est d’une lucidité accrue et avérée, de mettre en avant un décryptage des piges, aux énoncées, faisant abstraction, de la période pendant laquelle, on s’évertua à attirer l’attention, en guise de sonnette d’alarme, des uns et des autres sur une possible dérive future, s’il nous était imposé d’admettre le dénouement tel que voulu et prescrit contrairement à la volonté unanimement affichée et aux aspirations communes de progrès social, de développement économique et de stabilité politique.
Pour ce faire, toutes les objections s’inscrivant dans cet ordre, se voient remises à l’eau, tout en nous prévalant de la sommité des valeurs accumulées, ainsi que la totalité des excès, esquissée en forme de prémonition, pour mieux ressortir la teneur et la nature des confrontations politiques, intellectuelles et techniques, gavées de préceptes malveillants et largement voués à enclencher une série de critiques, au rythme des vocations que l’on se donne, en terme de justificatif de la convenance. Ainsi, ce lien ci-dessous, s’inscrit dans la logique de la large gamme de piges, malheureusement, écrite, une fois de plus, par un peulh, qui tente d’élargir la perception collective résultant de la scrutation du régime actuel, et mettre en exergue, les gros manquements à l’escompte des actes attendus et espérés. A ceci près, et revenant sur quelques unes des avancées opérées selon lui, par le régime actuel, il nous replonge, dans l’une des brèches de la spirale de la déconvenue, à savoir, “l’unicité des caisses de l’état”, qu’il appréhende comme un progrès significatif, en lieu et place, d’une incapacité prouvée, d’assortir la nouvelle plateforme de gestion, de procédés, optimisés de gestion décentralisée. Par ailleurs, je tiens à dire, que l’institution de cette mesure, n’est en rien, une avancée et n’a été nulle part, mentionné dans le rapport du FMI, mais plutôt les efforts accomplis dans l’amélioration de la perception des recettes. Le FMI prend toujours l’habitude d’adapter ses mesures, au plan de développement local en y apportant des correctifs et des contre propositions. De ce point de vue, l’initiative locale, est un déterminant essentiel, pour orienter les négociations de prêts, d’allègement ou de rééchelonnement. D’ailleurs, comment peut-on comprendre, l’engagement fait à la décentralisation et entrevoir en l’institution, de l’unicité des caisses de l’état comme un progrès significatif? Si ce n’est admettre la destruction d’acquis déjà existants? La Guinée étant un pays pauvre, très disons, comment peut-on espérer le transfert des liquidités disponibles, des collectivités locales, vers le trésor public, en sachant tout d’abord, que l’autonomie financière est inexistante et le décaissement des ressources, fortement centralisé et vu que c’est le seul aspect positif, de l’unicité des caisses? A nous d’y penser et d’oser espérer y voir une lueur d’espoir, si ce n’est plutôt celui du désespoir, Par delà, cet aspect qui combine le facteur technique et l’aptitude décisionnelle, il doit être déconseillé, la remise en cause de la décentralisation sous toutes ses formes et la poursuite des réformes, en tenant compte de leur linéarité, leur pertinence et leur pouvoir à nous sortir de la léthargie. http://www.lejourguinee.com/index.php?option=com_content&view=article&id=6497%3Aguinee-la-politique-dalpha-conde-est-rudimentaire-&catid=13&Itemid=34&lang= Plus loin, un second lien, vient tabler sur les principes devant sou tendre la nouvelle diplomatie Guinéenne, en la concevant au prorata des nouvelles exigences, soit une tentative d’établissement d’un rapport, entre les données politiques et celles économiques, le tout, sur fond de décloisonnement d’un secteur, qui souffre d’une désuétude criante, voyant les structures diplomatiques, souffrir d’une frénésie latente, auréolé d’un horizon assombrissant. A cet effet, on ne dira jamais assez, que les études prospectives, telles que “Guinée quel devenir1″, s’en sont fait, l’illustre écho, après avoir relaté et prescrit les normes en gestation, y compris la corrélation à rechercher entre son apport sur la promotion économique, culturelle, j’en passe et l’assouplissement des relations avec les autres nations. En cela, force est de reconnaître que l’application d’un programme, en appel forcement à son initiateur. http://www.guinee58.com/index.php?option=com_content&view=article&id=4166:les-grands-defis-dune-diplomatie-nouvelle&catid=44:libre-opinion&Itemid=67