Mais c’est un livre difficile, que nous pouvons refuser de peur de souffrir. Ses mots sont si tangibles, si sensibles, si denses, que nous pouvons les repousser d’une main, d’un mouvement de recul, d’un soupir. Et pourtant, l’amour d’une mère chasse tout, elle guérit le malheur. Apaise, il permet de vivre, de survivre, d’exister et de poursuivre.Le dernier frère de Nathacha Appanah marque, là, au cœur. Peut-être trop pour que les larmes coulent, se délivent sur notre joue, elles se refoulent par pudeur, n’osent s’exposer, elles restent ancrées, au bord de nous-mêmes. Maintenant, ces mots, cette voix, font partis de notre vie.
Mais c’est un livre difficile, que nous pouvons refuser de peur de souffrir. Ses mots sont si tangibles, si sensibles, si denses, que nous pouvons les repousser d’une main, d’un mouvement de recul, d’un soupir. Et pourtant, l’amour d’une mère chasse tout, elle guérit le malheur. Apaise, il permet de vivre, de survivre, d’exister et de poursuivre.Le dernier frère de Nathacha Appanah marque, là, au cœur. Peut-être trop pour que les larmes coulent, se délivent sur notre joue, elles se refoulent par pudeur, n’osent s’exposer, elles restent ancrées, au bord de nous-mêmes. Maintenant, ces mots, cette voix, font partis de notre vie.