Oublions un peu sa vie privée qui n’en fait pas l’homme le plus sympathique circulant actuellement sur la planète.
Mais on ne peut enlever à DSK sa capacité d’analyse économique.
Et, de Beijing, lorsqu’il compare peu ou prou Merkel et Sarko à des capitaines d’un radeau de la Méduse Europe auquel ils ne comprennent rien, il n’a vraiment pas tort.
Tout ce qui est cruellement annoncé n’est que virtuel et le premier euro du fameux fond de secours européen n’est encore que virtuel, et ceci pour de longs mois
Et de marteler une nouvelle fois son credo, celui qu’il avait esquissé déjà lors de sa fameuse interview-aveu sur TF1 : il faut prendre ses pertes!
Ceci est valable en effet pour les banques, pour les Etats, et donc pour les contribuables ravis que nous sommes de devoir participer à éponger les conneries de dirigeants néo-libéraux débiles.
Et c’est le seul premier acte significatif et concret qui serve à quelque chose. Mais pour ça il faut du courage, notamment politique.