Vous êtes-vous déjà demandé dans quoi valsent les galaxies? Avez-vous déjà visualisé cet espace sans limites qu’on appelle l’Univers? J’avais l’âge où Harry Potter venait d’apprendre qu’il était sorcier, quand j’entrepris d’élucider ce mystère. Durant des soirées entières, je scrutais les profondeurs de l’immensité stellaire.
C’est ainsi qu’un désir germa dans mon esprit.
Ou plutôt, une dernière volonté : Sur mon lit de mort, une seconde avant le mot fin, je souhaitais avoir une vision globale de l’Univers au complet. Et sentir le Tout dans son incommensurabilité. Juste une petite seconde serait assez.
Devinez quoi! Je n’eus pas besoin de me rendre jusque-là…
Je fus exaucée avec ce que j’appelle mon « pouf dans la lumière ». Comme je vous en parle un brin dans Le brillant cadeau de maman, j’aimerais vous le décrire ici davantage. Sauf que… Chaque fois que je m’y engage, les mots me font obstinément défaut.
Du coup, je me sens catapultée au Moyen Âge à expliquer l’internet à Lancelot.
Bon. Reprenons le récit au moment où mon mental devint silencieux. Où le visage de celle qui incarnait ma mère devint lumineux. Puis, tout autour. Et…
Pouf!
La lumière explosa dans un espace aussi grand que le système solaire. Puis, la galaxie. Puis, l’amas galactique. Et ainsi de suite, à l’infini. Telle une fusée, mon cœur fit un bond quantique. Et me voici plongée dans le vide cosmique. Un vide… plein de tout! Tout uni. Tout présent. Tout partout.
L’amour me remplit alors jusqu’à rebord et me déborda de toutes parts. J’étais comblée, telle une vague liquéfiée dans un océan de lumière illimitée.
Et me voilà de retour dans la pièce. Une seconde s’était écoulée. Personne n’avait rien remarqué. Je repris ma place. Et demeurai muette à ce sujet longtemps. J’étais vidée… et tellement pleine… en même temps!
Vous saisissez?
La joie me trempette la vue chaque fois que je me rejoue la scène. Maintenant, je sais. On ne meurt pas. L’infini et le fini se côtoient. En même temps. Tout se recycle constamment. Et à chacun sa perception!
Comme elle perçoit le début et la fin d’une transformation, la tête croit que nous sommes mortels. À cultiver ce genre d’idée, peut-on la blâmer de trembler? De son côté, comme il perçoit l’illusion, le cœur sait que nous sommes infinis et éternels.
Naturellement, il se détend le pompon et savoure de la vie tous les bonbons.
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Accueillez mes plus lumineuses pensées pour Noël et la Nouvelle Année.
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