Ainsi s’en va donc l’UDC qui n’a plus de conseiller d’État romand. Ouf.
Dans une élection complémentaire qu’il ne devait rater que si la désagrégation la rongeait.
Tel est visiblement le cas et on s’en réjouit.
Quant à l’arbitre de football libéral, dont on a toujours dit que le siège était justement éjectable, il ne voit pas encore de basculement à gauche: lui faudra-t-il être aussi éjecté en mars pour comprendre que sa politique n’est pas suivie et qu’il siffle plutôt mal ?