Remy ne l'oublions pas .
Suicide à France Télécom : plainte de la famille
La conférence de presse de la famille de Rémy
Rejoignez le comité de soutien
France 3 Aquitaine
Le 26 avril 2011, un cadre s’immolait par le feu devant les locaux de France Télécom à Mérignac. N’ayant toujours pas obtenu de réponses pour comprendre ce terrible geste, la famille a décidé de porter plainte le 15 décembre.
Raphaël explique : On attend des réponses
Retrouvez la vidéo en ligne ici
Libération: Immolation d’un salarié : France Télécom accusée
Extrait de l’article : Emue mais déterminée, elle (l’épouse de Rémy)a exposé comment elle a découvert, après son suicide, la détresse de son mari à France Télécom. Bien sûr, Rémy Louvradoux évoquait en famille son travail et les difficultés qu’il rencontrait. Mais il restait en surface pour ne pas accabler ses proches. «J’ai retrouvé des courriers qu’il avait adressés à France Télécom qui m’ont effaré, rapporte Hélène Louvradoux. La direction aurait dû se poser des questions sur sa santé.»
Retrouvez tout l’article de Libération
Le Parisien
Extrait de l’article Le Parisien : Nous avons entamé une procédure en vue de porter plainte (avec constitution de partie civile, ndlr) contre France Télécom et toute autre personne dont la responsabilité pénale viendrait à être caractérisée, pour mise en danger de la vie d’autrui et homicide involontaire », a expliqué sa veuve Hélène, qui a tenu une conférence de presse avec son fils Raphaël et leur avocate Cécile Boulé.
France Télécom a dit « prendre acte » de cette décision. L’entreprise n’a « souhaité faire aucun commentaire », et a indiqué qu’elle « sera à la disposition de la justice« .
Lire tout l’artickle du Parisien
La Croix
La croix : France Télécom attaqué en justice par la famille d’un salarié suicidé
UN SYSTÈME DE MANAGEMENT POUR INCITER LES SALARIÉS AU DÉPART
La famille et les syndicats Sud et CFDT, qui se constituent partie civile, mettent en cause le système de management mis en place à partir de 2004, sous l’ère de Didier Lombard, pour inciter au départ de 22 000 salariés en trois ans
L’article de La Croix