Toujours dans la logique et le sillage de la crise actuelle sous l’impulsion d’une approche multidisciplinaire, je me vois accompagner Vladimir V, dans ses suggestions et les ébauches qu’il ne cesse de dénicher, en vue de redonner sens et contenu, à la facette révélée du libéralisme, celle bien évidemment qui donna naissance, à la crise de croissance, d’insolvabilité et de liquidités vécue comme un lot quotidien.
Ainsi et telle que nous y contraint, l’enseignement de l’économie en ses différentes étapes d’évolution et à travers les grandes écoles de pensée qui l’ont conforté, l’école de Vienne, se révèle dans son approche subjective et comportementale des ménages, en fustigeant la quantification. Que ce soit, la monnaie, les crédits, la production ou le marché à travers l’utilité marginale, elle conforte de véritables avancées économiques et met en cause, l’ultra-libéralité de la conception Autrichienne de l’économie, initialement hostile à l’interventionnisme à travers certains travaux récents tout en procédant à une nouvelle intégration de la quantification. L’économie s’étant jusqu’à certains moments astreint à reconnaître les effets bénéfiques de l’école de Vienne sur la discipline, s’est réconfortée depuis la crise de l’état de providence. Ce lien proposé, l’est pour ceux qui souhaitent élargir leur vue, sur la disciplinaire à travers ses contradictions… http://economie-analyses-actualites-opinions.over-blog.com/article-l-ecole-autrichienne-de-a-a-z-93025729.html