de Brigitte Aubert .
Editions La Branche (12 janvier 2012)
Collection vendredi 13
222 pages
Polar
Résumé (service de presse)
Quand une tranquille sexagénaire reprend du service et règle ses comptes avec le passé...
Par un beau vendredi 13, Mamie Hélène, veuve depuis peu, apporte une tarte à ses voisins. Concert de détonations, corps sanguinolents, elle est témoin du massacre aussi expéditif que sophistiqué
de toute une famille. Alors qu'elle tente de fuir, l'un des tueurs la surprend.
C'est le début d'une traque effrénée.
Pour sauver sa peau – et s'amuser un peu – Mamie Hélène n'a d'autre solution que de renouer avec son ténébreux passé... Se révèle alors une sexagénaire pas comme les autres, corrigeant les
truands comme elle monte les blancs en neige : avec un solide coup de poignet et le goût du travail bien fait.
Née en 1956, Brigitte Aubert a publié une dizaine de romans pour la jeunesse et plus de vingt romans pour adultes, maîtrisant avec un talent redoutable de nombreux genres : suspense
psychologique, aventure, espionnage et épouvante. Elle obtient Le prix Michel Lebrun en 1996, ainsi que le Grand Prix de littérature policière en 1997 pour La Mort des bois. Ses livres sont
traduits dans plus de dix-sept pays.
Note de l'éditeur
« Le plus remarquable, chez Brigitte Aubert, est un art consommé du portrait, y compris dans la veine comique » (Le Monde). Elle manie la gâchette comme un gangster, fait plier les pires
malfrats... et rêve d'une bonne camomille chaude ; on découvre en Mamie Hélène une héroïne pas comme les autres, aussi cocasse qu'attachante, servie par un récit truculent, et comme toujours chez
Brigitte Aubert, haletant jusqu'à la dernière ligne.
Brigitte Aubert en parle
« Freaky Fridays est un clin d'oeil au cinéma de genre, aux héros hard boiled. On a tous en nous un héros déglingué, un Rocky fatigué qui aimerait reprendre le combat. Et le polar permet à ce
fantasme de se réaliser, de rendre coup pour coup à cette réalité bien souvent sordide qui nous entoure (voir les dernières révélations sur les caisses noires de l'Elysée par exemple, tout à fait
en phase avec les découvertes de Mamie Hélène !).
Un hommage, un engrenage, un divertissement, un avertissement, le roman noir frappe souvent au dessous de la ceinture, parce que les exploiteurs n'ont pas d'âme. »