Lili-oto est un artiste engagé connu sur le web pour ses prises de position politiquement à gauche.
Il défend une politique culturelle ouverte, non sectaire, refuse le débat malsain entre l’art dit contemporain et les arts singuliers qui sert à instrumentaliser les artistes et leur art pour les diviser, les dresser les uns contre les autres.
Lili-oto dénonce les magouilles dans l’art contemporain, les conflits d’intérêts et les délits d’initiés. Il milite pour que les musées d’art contemporain cessent leur activité et qu’ils soient remplacés par des Espaces de Diffusion pour la Création Contemporaine, EDCC dirigés par les artistes eux-mêmes. Lili-oto a travaillé dans l’institution en 89-90 et il est parti en claquant la porte même si l’artiste garde de bons souvenirs des employés avec lesquels il travaillait ce qui n’était pas le cas pour Thierry Raspail conservateur du musée d’art contemporain de Lyon et directeur de la biennale d’art contemporain de Lyon à qui il a dit ses 4 vérités en 1990 devant un parterre guindé de l’art contemporain et en présence d’un artiste italien connu de l’Arte Povera qui donna raison à Lili-oto.
Mon action politique, lanceur d'alertes et propositions sur le web entre 2007 et 2012.
Une partie des œuvres numériques de Lili-oto comme la grande Sarkolade qui parodie le président de la république Sarkozy se réfère à l’art politique. Son activisme artistique dont on dit qu’il est proche des activistes viennois (bof !). Une grande partie de son œuvre et de sa production artistique n’ont rien à voir avec cet art politique comme tout son travail sur l’art inertiel, la nouvelle relativité, l’ethnologie de l’insignifiant, ces peintures, etc… Lili-oto est un citoyen comme les autres et il se sert de sa formation de plasticien pour dire tout le mal qu'il pense de la globalisation du néo libéralisme, de ses acteurs financiers et politiques qui plument les peuples, renforce les inégalités et alimente mondialement un non respect pour la biodiversité. Lili-oto est un artiste qui n'aime pas que l'on manipule la population avec le concept galvaudé d'humanisme, l'humanité n'a pas besoin de " isme " pour ce faire respecter.
Lili-oto a été le concepteur et fondateur de la BAC OUT à Lyon, biennale dissidente d'art contemporain avec d’autres artistes lyonnais en 1993. Lili-oto a été le créateur de l’Artjacking en 1993 malgré tous les mensonges et bobards que vous trouverez sur internet et en plus il peut en apporter des preuves écrites et surtout irréfutables mais à autre chose à faire que de trainer des idiots et des menteurs devant les tribunaux. On dit que lili-oto est l’un des artistes en art contemporain le plus lu sur le web en langue française, c'est parce qu'il a des choses à dire!
Lili-oto travaille depuis les années 80 et toujours sur une figure intermédiaire entre la deuxième et la troisième dimension et il explique que le temps n’existe pas ni sa relativité mais qu’il est uniquement surdéterminé. Il pense que cette figure intermédiaire en art ne peut-être qu’un cône de lumière. Lili-oto depuis 4 ans n’a plus d’atelier pour travailler après avoir été expulsé avec son espace d’art contemporain à Bordeaux. Il vit aujourd'hui en Languedoc Roussillon dans une ville où le maire est au Parti Socialiste. Un maire PS à Narbonne qui préfère dépenser à gogo l'argent public et celui du contribuable pour rendre hommage avec un budget de 600.000€ à Charles Trenet plutôt que de prêter des espaces ou des lieux vides appartenant à la ville aux artistes plasticiens pour qu'ils puissent travailler, exposer... Ce sont des choix culturels, politiques et économiques, aider des artistes et leur prêter des lieux est une politique culturelle généreuse qui ne coute rien au contribuable. Ce maire revendique haut et fort son "humanisme" mais en réalité il préfère les morts aux vivants et détestent la création contemporaine et les artistes de gauche comme tous les petits barons du Parti Socialiste.
Lili-oto dénonce l’attitude des élus PS, UMP et centristes et leur politique culturelle néo libérale commune, médiocre, clanique, sectaire, clientéliste avec les institutions artistiques en France qui excluent les artistes par wagons entiers, les empêchant volontairement d’exercer leurs activités avec une concurrence déloyale financée par le contribuable, financiers et industriels néo libéraux. Ces méthodes politiques culturelles sont proches des procédés utilisés en 42 sous l’occupation et le gouvernement vichyste de Pétain, l'état et ses élus dirigent d'une main de fer l'attribution des subventions, des aides, et indirectement le choix des artistes présentés dans les expositions publiques.