La seconde motivation
L’Alaska, pour Alexander Supertramp, c’est l’évasion, la quête de l’imaginaire. L’Ecosse, c’était à mes yeux le
« grand-nord », loin des grandes villes, Edinbugh ou Glasgow et même Inverness, l’Ecosse des Highlands et d’Ossian, l’Ecosse gaélique…
Je ne vais pas refaire le blog que j’ai tenu au moment où j’ai écrit « le Ceilidh », mais il y a tout cela
si le lecteur se reporte aux pages écrites il y a deux ans…et aux photos qui illustrent ce blog. Tout se tient, même les dernières pages de « Pour y voir Clerc »…
, plus profonde et directement liée à la précédente, c’était pour moi aussi l’appel du « wild »… qu’on trouve en souche dans « la Route » mais aussi dans la suite
immédiate à ce voyage. Je savais qu’à mon retour des Etas-Unis, je partirais pour le Caithness. Que je n’aurais qu’une dizaine de jours pour me retourner… et par conséquent,
pendant que j’effectuais le voyage américain, j’avais déjà en perspective, le voyage écossais… L’Ecosse jouait pour moi le rôle de l’Alaska du film.