Alors que la campagne No Compromise est lancée (la septième) pour s'opposer aux desseins de la flotte baleinière japonaise dans l'Antarctique, voilà-t-il pas que Sea Shepherd Conservation Society reçoit, involontairement, un soutien de poids de la part de plusieurs états (Etats-Unis, Australie, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande). Dans un communiqué commun assez tonique, ces pays condamnent la reprise par le Japon de la chasse à la baleine en ces temps si difficiles. D'autant plus que ce dernier est accusé d'avoir ponctionné dans le fonds national de reconstruction pour financer son obsession cruelle.
Et rappelons que l’Australie a quant à elle saisi la Cour internationale de Justice en vue d’obtenir une condamnation des pratiques japonaises.
Bref, ça pue le cramé pour le Japon, pauvre petit pays obligé de détrousser les victimes du tsunami pour envoyer des tueurs de cétacés dans les eaux glaciales du sanctuaire sous prétexte que ce serait de la recherche scientifique.
Allez, voici un extrait d'un article de la section française de SSCS. La suite, c'est ici : http://www.seashepherd.fr/news-and-media/news-111209-1.html
"Des navires de sécurité armés, des mercenaires, des officiers garde-côtes, de grandes compagnies de relations publiques, et des avocats…
Voici la liste non exhaustive des "services" que trente millions de dollars peuvent aisément acheter, influencer, ou "convaincre" quand il s’agit de défendre une activité illégale.
A bout de souffle, les baleiniers Japonais armés d’un "fonds de guerre" de quelque 30 millions de dollars US - alloués par le gouvernement japonais sur les fonds de secours pour l’aide aux victimes du tsunami – se sont fait prêter "main-forte" pour empêcher les navires de Sea Shepherd de sauver les baleines cette saison."