Bref, beaucoup sont partis donc, peu de temps après la release, le jeu a quand même trouvé son public, une irréductible communauté de farmer. Et qu’est-ce qu’elle a gueulée cette communauté, à chaque patch, à chaque modification, à tort ou à raison, la question n’est pas là, néanmoins, NCwest (branche américaine d’NCsoft), qui gérait le jeu pour l’Europe et les US, n’as jamais su combler les véritables attentes des joueurs, en implémentant du contenus PvE dans un jeu dit PvP, tardant à équilibré les classes et cetera, et cetera.
En tout cas, NCsoft se désengage de la gestion de son mmo pour l’occident, s’étant finalement rendu compte que le bénéfice n’est pas bien grand, l’éditeur retourne gérer ses affaires en Corée, ou Aion tourne encore à plein régime avec 43 serveurs (contre 2, pour la France). Pour nous, c’est Gameforge qui reprend les rennes, cet éditeur spécialisé dans les Free To Play, à la réputation plutôt inquiétante concernant la gestion de ses jeux, rendez-vous en février pour en faire, ou non, le constat.