Image via Wikipedia
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Voici un autre lien, mis en exergue par l’entremise de Vladimir V, dans sa tentative d’appréhension des effets résultant du secours apporté aux banques, à travers leur recapitalisation, tout en essayant d’élucider les entraves entre le libéralisme et le système financier, d’une part, et de l’autre, l’usage que fait du système financier le libéralisme.
Ainsi, ce lien ci dessous, entreposé entre mon blog, over-blog de Vladimir V et le site “atlantico”, sert d’esquisse à une analyse, avancée et à l’opposée de la propension en vue, promptement déclinée pour mieux relever, une brèche du sauvetage des banques, que préconise un autre spécialiste, par le biais d’une faillite à assumer par les banques qui méritent. Par ailleurs, ce lien, qui nous promène dans l’univers de l’achat des obligations d’état, fait appréhender les risques encourus, de par l’insolvabilité croissante des états, pour un recours abusif aux achats des titres et valeurs des états. Partant, il décrédibilise les états dont les obligations, sont vendues à faible taux, d’où un rendement médiocre ou non assuré. D’ailleurs, il soulève le voile, sur une autre facette de la création monétaire, à travers le jeu entre ces dites obligations en échange des liquidités centrales déboursées par les banques commerciales pour souscrire à ces obligations. Soutenant que la réglementation mise en place, par les états était de nature à contraindre les banques commerciales à acheter les obligations d’état, au risque d’accumuler des pertes. Néanmoins, tentant de décrypter, un peu la transaction qui s’opère entre une banque commerciale et un état lors qu’intervint l’achat d’obligations d’état. Les banques commerciales ayant un compte au sein de la banque centrale, tout comme le trésor public, qui émet ces obligations, peuvent procéder à une transaction telle que suit: supposons qu’une banque commerciale qui a un compte A au sein d’une banque centrale, achète des titres au trésor public, qui en possède un au sein de la même institution, dénommé B. Il en résulte, un unique modèle de règlement en forme de liquidité de la banque commerciale à travers le compte A ver le compte B au sein de la banque centrale. En contrepartie, le trésor public peut émettre un chèque au bénéfice de la banque commerciale, pouvant procéder de la création monétaire, à défaut de liquidités. Là aussi, les agences de notation sont mis en causes, pour avoir accrédité, certains pays du triple AAA, à savoir les risques encourus dans l’achat des subprimes par exemple. Plus loin, ce spécialiste, manifeste un mépris pour le sauvetage des grandes banques comme LB, AIG, alors qu’il reconnaît parallèlement que ce sauvetage a sauvé certaines de leurs filiales Européennes de la faillite, comme la Deutsh bank, Société générale, raison pour laquelle Vladimir V en débutant son commentaire, a tenu à marquer son opposition à la préconisation de ce spécialiste, qu’il trouve traduire plus sa vocation de financier et tant qu’il faille se servir du libéralisme au gré des opportunités. En outre, il analyse les perspectives de pertes qui se déclinent, lorsqu’une banque fait banqueroute, en des termes assez loquaces, en situant le niveau d’échelonnement des pertes des actionnaires au simple épargnant, faisant une autre brèche, celle qui consiste à reconvertir, la dette en capital, dans le cas, d’une faillite, n’impactant pas l’ensemble des fonds propres. Par conséquent, à la question de savoir” si en cas de faillite, l’état doit assumer sa responsabilité et les actionnaires obligataires assumer la faillite”?, Bien qu’il émarge, la solution actuelle, il parvient à dégager un créneau, qui oppose, l’approche financière de la question de l’approche politique. Quoi qu’il en soit, en définitive, il faut reconnaître, que la nouvelle donne qui se dégage, est généralement le remboursement des créanciers par la banque centrale et la reconstitution du capital de la banque en faillite, soit par la création monétaire pure et simple, et l’indexation de l’achat des obligations d’état sur l’inflation. Une pratique en date de 1998 en France…Stop au tabou ! Plaidoyer pour la faillite des banques qui le méritent | Atlantico