Car ces dernières années, Guy Carlier ne cache pas qu’il s’ennuyait au Parc : « Le PSG, époque Le Guen, c’était un remède à l’éjaculation précoce. C’était vraiment un pensum d’aller les voir jouer. Il y avait Bourillon, Digard, c’est affreux. Il n’y avait rien, c’était triste » explique l’humoriste-chroniqueur dans les colonnes de Surface Magazine.
« Alors qu’aujourd’hui, Pastore, c’est Susic ! Il faut qu’il y ait des mecs brillants à Paris (….). Bourillon et Digard ne font pas rêver les gosses; Le Guen non plus » ajoute-t-il.