Bon vous l’avez compris, ce billet donne le ton de ma mauvaise humeur. Bon je vous rassure (quoiqu’en réalité, vous vous en fichiez éperdument) ça ne m’empêche pas de dormir la nuit mais vraiment, j’ai du mal avec les fautes de français, qu’il s’agisse d’orthographe, de syntaxe ou autre. Je peux comprendre que lorsqu’on écrit à un collègue ou à son chéri, on puisse laisser glisser quelques fautes. C’est humain après tout, ce blog en est un bon exemple.
Mais lorsque l’on est dans une démarche formelle, que l’on veut se vendre, il y a quand même une exigence zéro faute non ? Si je vous parle de cela aujourd’hui, c’est que j’ai reçu il y a quelques temps une demande de stage avec des fautes. D’accord, ce n’était pas truffé de fautes mais quand même, il y en avait bien 3/4 qui trainaient et je trouve tout simplement cela inacceptable.
Allez, je vous en laisse un morceau (bien) choisi : « Ma passion et ma curiosité pour la publicité et ses métiers se confirment de jour en jour, dynamique et créative, c’est donc pour cela que je suis très intéressé pour rejoindre votre structure. » ou encore « En espérant que ma candidature sera retenir toute votre attention ». Franchement, vous avez envie de travailler avec elle ?
Moi non. C’est rédhibitoire. D’ailleurs, je me suis fendue d’un mail version « vieille aigrie » (mais j’assume) qui disait en substance que lorsque l’on se destine ainsi aux métiers de la communication, il y a un pré-requis indispensable, c’est la bonne maîtrise de la langue française. Non mais.