Difficile de savoir si Dougal Douglas est le diable, une métaphore ou un intrus complètement siphonné – j’y réfléchis encore – il n’en altère pas moins la vie harmonieuse et toute tracée des habitants de Peckham.
The ballad of Peckham Rye (L'ingénieur culturel), petit roman social de 143 pages, sort des sentiers battus. Marqué par son époque (le travail pour tous, le rock, les appareils ménagers, les débuts d’une société multiculturelle), il semble annoncer un avenir moins prospère, plus rude.
Bref, j’ai beaucoup aimé cette première rencontre avec Muriel Spark.
La note de L'Ogresse: