Une performance "artistique" (ha bon ?) du Chinois Kai Guo Kyang à Doha. On retiendra un énorme barouf qui a dû éloigner les corbeaux à des kilomètres et un bouquet final sous forme de nuagelets noirs très 2012, genre pré-apocalyptique. Les dits nuagelets sont gérés par ordinateur pour donner l'effet de "drops of ink splattered across the sky."
Tiens, cela me rappelle une balade à Manhattan où l'on voyait dans le ciel bleu de NY, de faux nuages en forme de lettres squattant le ciel pour former une pub ethérée et planante.
Et les nuages ? C'est si beau, les nuages. Dieu est un fumeur de Havanes....mais pas de pétards, non d'une pipe !