Après la traite des chèvres qui ont de moins en moins de lait, soit dit en passant. Après avoir nourri le bouc (pas émissaire celui-là, plutôt en train!), après avoir chargé le râtelier en foin de Luzerne, rempli l’abreuvoir avec… de l’eau (bien joué pépé!) et après avoir nettoyé la chèvrerie en la débarrassant d’un rat des champs (une pensée pour Didier), je suis allé ramasser, aux pieds des arbres, les premières prunelles (j’y tiens énormément) de l’année, poils au nez. Un délice, poils aux cuisses!
La photo du jour: