Chez Keren Ann, j’aime :
- Qu’elle dise parfaitement la fragilité et les passions enchantées des adolescentes dans la chanson Seventeen.
- La voix forte et gracieuse qui joue des paroles toujours delicates et justes
- Qu’elle ait su écrire les instants de doute mélancolique, de retraits et de questionnement dans Not going Anywhere
- Le calquage des mots dans les chansons écrites en anglais et en francais.
- L’idée fabuleuse de la chanson 101, inventaire inversée qui rappelle les grandes tables des seders de Pessah.
- La discrétion apparente sur scène avec ses deux acolytes Shlomi Shaban et Avishay Cohen qui la considèrent en fait comme la princesse de la bande.
- Son léger accent français en hébreu
- Son Français poétique et juste, fort et scintillant
- Ses attitudes changeantes sur les pochettes d’albums
- L’idée qu’elle se sente chez elle partout, qu’elle vienne d’ici, de là et d’ailleurs
- La justesse dans son ton quand elle évoque Israel qui rend ses idées évidentes
- Les paysages sucrés de son Jardin d’hiver.
- Le souvenir estival que j’ai précieusement gardé de son concert à Césarée, l’année dernière.
- Les frissons que me donne son interprétation d’Halleluya.
- Qu’elle soit une artiste, une grande.