
Je découvrais My Dead Eagle en tout début d'année sur un album, intitulé "The Nadir", qui ne m'avait pas laissé de marbre. Chaque morceau était un curieux mélange entre electro/lo-fi et witch house, le tout assaisonné de beats synthétiques et hip-hop. Le mystérieux projet basé à Oakland, Californie, a ressurgi le mois dernier avec un second opus, "Party", peu différent du premier puisque privilégiant toujours les expérimentations audacieuses. A découvrir en intégralité ici (et disponible en téléchargement libre).