Mignonne la nouvelle de ce mari iranien pingre qui refusait même de payer le café de son épouse au restaurant et condamné à l'achat de 124'000 roses rouges pour son épouse comme punition de son avarice. Et en plus le Tribunal lui a confisqué un appartement tant qu'il ne se sera pas exécuté.
Au fait, le journal iranien Etemaad ne dit pas si la peine doit être purgée en un seul bouquet ou si, sur le principe des jours-amende, le condamné pourra tirer en longueur. Pourquoi pas aussi l'introduction dans le droit suisse du jour-fleurs comme peine accessoire. Ca redonnerait du parfum à certaines condamnations bénignes.