Vous avez remarquez toutes ces courbes qui plongent en ce moment ? C'est à vous couper l'élan de la zigounette ! Mais avant de vous suicider en avalant d'un coup d'un seul la boîte de Viagra de fabrication indienne au fond du placard, tentons d'abord d'y voir un peu plus clair. Au commencement fut les pigeons. Des gens comme vous et moi qui, marqués par la piaule de JR dans Dallas, voulurent la même pour eux, leur mômes et tante Yvonne (j'sais pas ce qu'elle fout là mais bon). Bien sûr, tout cela en bossant à mitant dans le snack du coin. Jusque là rien d'anormal. Sauf que voilà, de généreuses banques décident quand même de leur préter des sommes relativement vertigineuses en une période de taux faibles (c'est à dire que les pigeons pourront rembourser calmement à leur rythme). Et puis patatra ! La Fed (la Réserve Fédérale "of zi yunaïtidsteits of améruika") augmente son taux directeur (les taux d'intérêts) obligeant nos oiseaux à payer des sommes bien au-delà de leurs moyens, et donc à migrer vers d'autres cieux manu militari ne pouvant pas rembourser les banques ! Ces dernières qui ont déjà perdu leurs nerfs (de la guerre) se voient confronter à une crise de l'immobilier les empêchant de revendre les baraques à prix d'or. Deuxième branlée financière. Branlée fatale pour nombres de préteurs qui doivent fermer boutique blindés de dettes. Et si les banques, poumons de l'économie coulent, en principe tout le monde suit. Quand je dis tout le monde, je parle aussi de vous et moi ou ceux qui vont payer les pot cassés à coup d'agios entre autres...Maintenant vous pouvez avaler vos pilules bleues...
Vous avez remarquez toutes ces courbes qui plongent en ce moment ? C'est à vous couper l'élan de la zigounette ! Mais avant de vous suicider en avalant d'un coup d'un seul la boîte de Viagra de fabrication indienne au fond du placard, tentons d'abord d'y voir un peu plus clair. Au commencement fut les pigeons. Des gens comme vous et moi qui, marqués par la piaule de JR dans Dallas, voulurent la même pour eux, leur mômes et tante Yvonne (j'sais pas ce qu'elle fout là mais bon). Bien sûr, tout cela en bossant à mitant dans le snack du coin. Jusque là rien d'anormal. Sauf que voilà, de généreuses banques décident quand même de leur préter des sommes relativement vertigineuses en une période de taux faibles (c'est à dire que les pigeons pourront rembourser calmement à leur rythme). Et puis patatra ! La Fed (la Réserve Fédérale "of zi yunaïtidsteits of améruika") augmente son taux directeur (les taux d'intérêts) obligeant nos oiseaux à payer des sommes bien au-delà de leurs moyens, et donc à migrer vers d'autres cieux manu militari ne pouvant pas rembourser les banques ! Ces dernières qui ont déjà perdu leurs nerfs (de la guerre) se voient confronter à une crise de l'immobilier les empêchant de revendre les baraques à prix d'or. Deuxième branlée financière. Branlée fatale pour nombres de préteurs qui doivent fermer boutique blindés de dettes. Et si les banques, poumons de l'économie coulent, en principe tout le monde suit. Quand je dis tout le monde, je parle aussi de vous et moi ou ceux qui vont payer les pot cassés à coup d'agios entre autres...Maintenant vous pouvez avaler vos pilules bleues...