L’exposition consacrée à l’enfant terrible de la haute-couture britannique à New York a battu des records. En Europe, on l’attend avec impatience.
Alexander McQueen (British, 1969–2010) Dress It’s Only a Game, spring/summer 2005 Lilac leather and horsehair Courtesy of Alexander McQueen Photograph © Sølve Sundsbø / Art + Commerce
Corsets métalliques, coiffes de plumes noires et rouges, masques de verre… Des pièces emblématiques comme la redingote origami ou la veste kimono… Un éclairage minimaliste pour une scénographie romantico-trashy…. Pendant trois mois, le MET de New York – The Metropolitan Museum of Art – a présenté une centaine de tenues et près de soixante-dix accessoires du créateur qui n’a pas eu peur, lors de ses 19 années de carrière, de choquer la Queen.
Une occasion pour les quelques 600 000 visiteurs de « The Savage Beauty » de (re)-découvrir l’univers mystique de cet artiste torturé qui s’est suicidé en 2010, ainsi que les extravagantes créations de son génial hairstylist Guido Palau. Alors, de l’autre côté de l’Atlantique, on trépigne en attendant le retour des œuvres du designer prodige depuis la fermeture de l’exposition à la fin de l’été. Ce qui serait, d’ailleurs, envisagé. Du coup, au Gracia Daily, on s’emballe : « The McQueen Exhibition is coming home !!! »
Oui, enfin, pas avant 2013…
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