Un billet d’humeur de Contrepoints
Les jeux sont faits, rien ne va plus. Depuis son arrivée remarquée au Fouquet’s pouvoir, Nicolas Sarkozy n’a cessé de vandaliser l’économie de la France. Relances keynésiennes, endettement hors de contrôle, budgets déficitaires, créations de nombreuses taxes, etc… furent les ingrédients de base de la malbouffe étatique qu’il a servie à volonté aux Français. Avec du rabe et une bonne pincée d’absence de vraies réformes pour épicer tout ça.
Du coût coup, la France est malade.
Les plus crédules se sont faits endormir sous perfusion de « ♫ c’est la faute à la crise ♪ ».
Le professeur Markus Kerber, qui, en tant qu’Allemand, n’a pas participé à ce diner de cons bientôt quinquennal, s’exprime sur cette mascarade.
Voici ce qu’il en pense:
« Le problème de la France est qu’elle se permet un train de vie qui est totalement inapproprié. «
« Ce président doit défendre son bilan, il est ainsi devenu prisonnier de sa propre politique qui est néfaste. Je pèse mes mots: néfaste, Monsieur.«
« C’est la France qui « grâce » à Sarkozy est l’homme malade. «
« Je suis toujours clair! Ce qui n’est pas clair n’est pas allemand ! «
Il va falloir une bonne dose de digestif pour faire passer l’addition.