. Art choc
Si je cherche à m’éclairer, ne serait-ce que d’une infime lueur, au risque de l’entretenir peut être comme une fable…, le temps que ce rêve me transporte, m’émeuve, duplique mes idées et laisse à mes peines le temps de s’effacer, c’est que j’ai goûté à ce breuvage simple qui à nul autre pareil ne saurait égaler : la grâce, la respiration, l’exhalaison, le transport pulsant, la volupté de l’élévation de l’esprit. J’ai connu la paix des peurs dans le cœur des Hommes qui par le partage d’émotions ancestrales ont su développer dans une communication multiple, où la télépathie suit le chemin chimique de l’échange, celui-là même qu’entretiennent les bêtes et les plantes. Oui j’ai connu le seul pouvoir s’il en faut, celui de panser les souffrances et par là même apaiser les miennes dans une communion dense avec les autres parce que les forces qui fusionnent tendent à se multiplier. (Lire la suite sur ruminances)