Un peu de douceur
De temps en temps m’effleure
Dans tes bras je meurs
Je frissonne de bonheur
De sensations oubliées
Enfouies dans mes entrailles
En chavirements enivrés
J’ose enfin les retrouvailles
Tu siffles de bon matin
Et tu prends ma main
Je te suis pleine d’entrain
Ensemble nous irons loin
A cœurs perdus
Nul n’est tenu
Ton chagrin contenu
A croisé ma vertu