Le ministre indien des Finances, Pranab Mukherjee, a reconnu pour la première fois mercredi que l’économie indienne était dans une situation difficile en raison d’un faible taux de croissance, d’une inflation persistante et d’un déficit budgétaire sans cesse croissant.
Mukherjee a déclaré que le prix élevé imprévu du pétrole et d’autres produits plus un ralentissement de l’économie mondiale, notamment en Europe et aux États-Unis, avaient sévèrement frappé l’économie indienne.