Croire que nous sommes les meilleurs dans ce domaine, c'est avoir peu voyagé. Jeter un oeil sur Bayarea et vous aurez un aperçu de ce que l'on peut manger à travers le monde, de l'inventivité et de la multitude de plats haut en couleurs que l'on peut savourer ailleurs qu'en France tel que le flétan séché sur purée de chou-fleur, haricots Lima, oignons blancs et champignons trompette au coulis de lait d'amande et cerfeuil de David Bouley, grand chef né au Connecticut et propriétaire d'un grand restaurant à New York. C'est n'avoir jamais goûté un plat traditionnel tel que le mole poblano ou les tamales Mexicain, le risotto à la Milanaise, les saucisses en chemise de Lombardie ou encore le tajine Marocain de poulet et sa purée de courge caramélisée... Et que dire de la cuisine Japonaise, de ses tempuras, ses tepanyakis, ses misos, ses sobas ou encore ses sukiyakis...
Bah, faut vraiment n'avoir jamais mangé ailleurs qu'à la cantine pour penser que nous seuls les Français saurions marier les saveurs et serions les gardiens d'une gastronomie inégalée.
Pour me consoler d'une telle prétention arrogante, il faut que je mange du chocolat. Belle occasion pour exercer mes propres talents de cuisinière... enfin surtout les talents de ma machine, et voilà une brioche au chocolat, une!