(...) La racaille est raciste. Que l’on se renseigne sur ce qui arrive aux Blancs qui, parce qu’ils sont paumés et en recherche de camaraderie virile se lient d’amitié avec la racaille. Regardez K-Libre. C’est affreux, affreux a regarder. Et comme il a tourné, le sort que lui ont fait ses «frères », et pourtant il avait donné tous les gages de bonne conduite, s’était même converti, avait tout adopté, tout hallal-bouffé. Malgré tout cela il a quand même été considéré comme un Blanc et un Dhimmi, et a fini comme tel. Parce qu’en face, tout blakblanbeur qu’ils se prétendent ils pensent et agissent en blacks et en beurs. Qui à honte d’être un negro a part Mickael Jackson ? Booba « Double poney ».
Eux ils ne respectent pas par libre adhésion mais par soumission au plus fort. Leur mot « respect » connote « tenir en respect », pas « avoir du respect ». Et le plus fort ils le testent en permanence pour vérifier qu’il est toujours le plus fort. Ne l’est-il plus ? Montre-t-il des signes de faiblesses ? Aussitôt c’est la curée. Des loups, des hyènes.
Comment a été tué Jean-Claude Irvoas ? Et Jean-Jacques Le Chenadec ? Et Yann Lorence ? Et les dizaines de Sébastien, de Kevin et de Cyril depuis toutes ces années ? Réponse : la curée. Seuls contre plusieurs, façon pogrom, façon Mogadiscio (La chute du faucon noir, histoire vraie).
Pourquoi hurlent-ils et réclament-ils des choses ? Pas parce qu’ils sont opprimés. Mais parce qu’ils ne sont PAS opprimés. Ça joue les mâles mais c’est tout femelle en vrai. Ils ne détestent rien tant que la liberté. Ils y sont dans le vide, ils y sont perdus. Ils souhaitent profondément une bonne dictature bien oppressive pour pouvoir jouer le seul rôle qu’ils connaissent, celui de victime. Preuve en est l’exemple systématique de leurs sociétés au « bled ». Pas un seul des 53 pays d’Afrique qui ne déroge à la règle « dictature racketteuse corrompue et obscurantiste ». Parce que l’être humain veut jouir et ne pas prendre la vie au sérieux. Et eux c’est comme ça qu’ils jouissent.
Le problème étant cet accent dégoûtant, résidus de ces langues maternelles effroyablement gutturales, qui sonnent aux oreilles comme un râle de vomissement ou d’égorgement c’est selon. Richard Millet faisait à juste titre remarquer que très étrangement, cet accent se transmet au fil des générations, et que c’est là une preuve concrète d’absence d’intégration. Idem pour le choix des prénoms donnés aux enfants. Mais revenons à l’accent. L’accent et les simagrées, ces façons d’agiter beaucoup les mains comme si leurs paroles étaient tant profondes qu’elles nécessitent l’appui d’une gestuelle. Une gestuelle disgracieuse un code kinésique et proxémique qui chez nous connote la menace. Différence culturelle te revoilà, gouffre même lorsque leur entêtement à « conservé lé tradissions » a pour résultat de paraître quoi qu’ils fassent, agressifs, violents.
Mais au fond est-ce qu’ils paraissent violents ou est-ce qu’ils sont vraiment violents? Pour répondre à cette question nous prendrons l’exemple du « discours de Ratisbonne » de Benoit XVI. Le pape lit un texte dans lequel il cite un auteur qui dit en substance qu’il se désole de voir que les muslims sont violents. Et aussitôt les muslims dans le monde réagissent non pas en disant « comment nous violents mais pas du tout ! » mais précisément se livrent à un déchainement de meurtres de chrétiens, d’incendies d’églises et de pogroms bien lâches et accomplis en situation d’écrasante supériorité numérique. « Tu pues de la gueule » dit le philosophe au bouffeur d’ail cru, et ce dernier de de lui gueuler en face en soufflant très fort « comment ? Moi j’pue d’la gueule ?? Moi j’pue d’la gueule ?? ». Eh bien les aberrations intellectuelles de ce calibre-là sont la spécialité de la racaille.(...)
Lounes Darbois (en grande forme..), à lire d'urgence. (Il y a du Balzac chez cet homme)