Utiliser les réseaux sociaux comme Twitter pour améliorer la qualité de son image , oui, mais passer son temps à dénigrer un parti concurrent ou encore harceler de tweets identiques peut s’avérer une stratégie perdante pour le parti même. Passons en revue quelques erreurs de stratégie des partis marocains, en pleine campagne éléctorale.
Certains partis comme l’Istiqlal montrent leur désintérêt total aux autres partis, car abonnés à aucun flux. D’autres n’hésitent pas à s’en prendre verbalement aux tweetos sur leur fil d’actualités, tel que l’USFP (Union Socialiste des Forces Polulaires) : « Vous n’êtes pas obligés de voter pour nous. Allez voir du côté du PSU si ça vous chante ».
Ce dernier a, par ailleurs, dû s’excuser du manque de cohérence dans le ton et le style choisi tout au long de ses messages, mettant en relief une énième erreur de stratégie. Autre moyen de faire mauvaise impression, publier plusieurs fois un même tweet en quelques heures, dénigrer un parti adverse, ou enfin ne plus avoir aucune activité au sein du réseau dés la fin des éléctions, attitude suivie par le RNI (Rassemblement National des Indépendants).
En finalité, c’est bien le PJD (Parti de la Justice et du Développement), qui a su éviter la plupart de ces pièges, qui termine grand gagnant.
Voici quelques exemples de mauvais choix d’un parti à l’autre :